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MessageSujet: Le Général Dégel (fini) Le Général Dégel (fini) EmptySam 6 Mai - 13:54
Fenris

“ I spoke to the devil today and he swears he's not to blame
And I understood 'cause I feel the same ”






Fenris « Dégel » Fergail



25 751 ans demi-titan ancient général argos blanche

Peau : blanche Taille : 5’8 (8'5 sous forme angélique) Corpulence : musculature « grasse » : il a des muscles, mais aussi des rondeurs Cheveux :  courts et noirs Yeux : gris Forme non-humaine : Fenris ressemble énormément à une femme sous sa forme angélique. Il a des hanches larges et la taille fine. Ses traits faciaux sont aussi plutôt doux, comme ceux qu'on verrait chez une femme. Son ventre et son torse sont blancs. Son dos, lui, est noir. Il a trois paires d'ailes placées à des endroits étranges. L'une d'elles remplace ses bras - au bout du quel on retrouve des griffes - l'autre est atrophiée, sur ses épaules et la dernière est sur le bas de son dos. Il a les cheveux longs et ondulés, ainsi qu'une longue queue, semblable à celle d'un quetzal, mais blanche. Il possède des caractéristiques de titan (attributs animaux, longévité et trois paires d'ailes) mais aussi des attributs demi-sang (une seule paire de bras, visage et forme du corps très humains, petite taille), ce qui marque la transition entre les deux espèces. Certains croient que Fenris, à 25 751 ans, a bientôt atteint la fin de sa vie. Signe(s) distinctif(s) : Il est tatoué à l’annulaire gauche. C’est le symbole traditionnel du mariage chez les Fergail.

∞ Caractère

Fenris n’a jamais été très intelligent. Il est simple d’esprit, au point d’en devenir extrêmement stupide. Il lui est très difficile de comprendre quelles conséquences pourraient avoir ses actes, car il a trop une tête creuse pour y penser. Quand il culpabilise, il blâme sa faute sur quelqu’un d’autre pour essayer de se sentir mieux. Son manque de réflexion ne fait pas de lui quelqu’un d’impulsif. Fenris est d’une nature extrêmement calme. Il ne sourit pas, et ne crie jamais, sauf s’il se sent en détresse . Non, la seule marque d’émotion qu’il tend à montrer, ce sont des larmes. Il est très sensible, il pleure presque tout le temps - ce qui peut attirer des moqueries. Même s’il est capable de contrôler ses émotions jusqu’à un certain point, il lui arrive souvent de pleurer quand il est fâché, quand il est triste, quand il a mal, voire même quand il est ému. Fenris peut sembler aimer la solitude, mais en fait, il aime beaucoup plus la compagnie d’autrui. Il adore les enfants et l'innocence qu'ils dégagent. (Notons que, pour lui, un enfant, c'est tout ce qui a en bas de 100 ans...) Il devient très maternel en leur présence. Il faut comprendre que Fenris a toujours eu des manies féminines, et celles-ci se perçoivent encore plus lorsqu'il est en contact avec des plus jeunes. Fenris a aussi une nature très dogmatique : d'un côté, il y a le bien, et de l'autre, le mal. En général, les gens qui ne sont pas d'accord avec lui ou qui se moquent de lui se retrouvent dans la deuxième catégorie. Il est têtu et c'est donc très difficile de le faire changer d'avis quand il n'aime pas quelqu'un.

∞ Histoire


C’était alors que les orcs possédaient encore leurs terres, que les blacksmiths avaient un territoire qui partait de la rivière Aras jusqu’à la grande falaise qui se jetait dans la mer. Il y avait un peuple qui s’était reclus au loin des montagnes elfiques. Ce peuple, qu’on appela trolls, n’était qu’un groupe de sylvestres qui commençait peu à peu à développer des mutations. Ils étaient tranquilles, dans leur nation, comme si leur territoire appartenait à un autre temps, une autre dimension. Puis, on vint briser leur paix. Une armée, quelques épées. Ils n’eurent pas le temps de se défendre qu’on eût déjà pillé à feu et à sang. Plus de huit cent milles vies furent perdues.

Fenris est né d’une mère trop vieille qui perdit rapidement la vie après sa venue au monde. Son père ne l’éleva jamais seul : leur famille était là pour le soutenir. Son père était un proche de Samaël, le chef des Fergail à l’époque, qui appréciait aussi Fenris. Samaël avait un fils, beaucoup plus vieux que Fenris, quelque chose comme quinze mille ans, mais il faut croire que la différence d’âge est futile quand on est un fils de chef sans ami, parce qu’ils devinrent très proches.

Urizen, c’était son prénom, tint compagnie à Fenris dès ses cinq ans. Il le trainait dans les corridors de leur palace sur ses épaules, il l’amenait voler à l’extérieur de la ville, lui apprit à être cavalier. Quand Fenris fut en âge d’apprendre, Zen décida à être son tuteur, ce qui fit qu’ils passaient encore plus de temps ensemble. Ils étaient comme des frères. Ce n’était pas rare de les voir se disputer pour que, ensuite, Fenris éclate en sanglots et que Zen lui pardonne tout – ou s’excuse, dépendamment de la situation. Zen et Fenris, c’était indissociable. À ses quinze ans, le plus jeune commença à s’éloigner de l’autre, pourtant. Zen était un érudit, alors que Fenris avait de la difficulté à comprendre les concepts théoriques. Il préférait de loin le combat au corps à corps. Il demanda à son ami de raccourcir leurs études pour qu’il puisse s’entraîner à l’épée. Ce fut fait, mais Zen continuait de passer du temps avec lui. Il venait souvent s’asseoir sur un banc de la cour d’entrainement, lisant pendant que son « petit frère » devenait un redoutable guerrier. À seize ans, il rejoint la garde des Fergail. À dix-huit ans, il quitta pour leur armée personnelle. À vingt ans, il en était colonel.
 
Il était devenu un tank, une brute aux épaules trop carrées qui recevait des coups sans se crisper. Il avait appris quelques sorts de magie blanche sous l’éducation de Zen, mais ils étaient tous tournés vers la combat. Quoique personne ne le trouvait aussi charismatique son meilleur ami, tous étaient d’accord sur un point : il était excellent soldat. Fenris le savait lui-même et en était fier. Il passait de moins en moins de temps avec son ami, parce qu'ils étaient tous les deux très occupés avec leurs obligations, l'un la recherche et l'autre les missions, mais aussi pour d'autres raisons que Fenris préférait taire.

Ils avaient toujours eu une amitié très physique. Ils dormaient souvent dans le même lit, ne se privaient pas de s'enlacer quand ils se retrouvaient, prenaient des bains ensemble. Peut-être était-ce la différence d'âge, le fait qu'ils étaient plus frères qu'amis ? Bref, ce genre de contacts, Fenris finit par les haïr. Il ne les sentait pas inapproprié, loin de là, mais il commençait à réaliser petit à petit que Zen, à ses yeux, ce n'était plus un ami. Il maudissait les caresses de ne pas pouvoir lui donner plus. Il détestait la présence réconfortante de son ami d'enfance par dessus son épaule de ne pas pouvoir être seulement à lui. À vingt ans, Fenris réalisait deux choses : il avait du désir pour son ami, mais non seulement, il l'aimait aussi. Parce que leur relation physique lui faisait trop mal, il demanda à Zen d'arrêter les touchers. Malheureusement, celui-ci s'éloigna par l'occasion, pensant probablement que Fenris désirait petit à petit couper les ponts avec lui.

Il y eut des rumeurs comme quoi les pouvoirs des trolls devenaient trop puissants. Il y avait eu des morts, tués par ce peuple. Si on leur permettait de se développer, ils pourraient décider à attaquer le territoire des sylvestres et y massacrer tout le monde. Ils en auraient la capacité. Les quatorze familles se réunirent, inquiètes. Que devait-on faire ? Les laisser grandir en puissance ? Ou les arrêter ? Il fallait prendre une décision. Rapidement. Deux personnes votèrent pour ne rien faire, trois dirent qu'il fallait les massacrer avant qu'il ne soit trop tard. Les autres s'abstinrent. Personne ne voulait être celui qui allait détruire un peuple entier. On préféra ne pas mêler Argos à cela, pour cause de manque de voix.

Samaël rentra dans ses quartiers. Il déclara à son général qu'il fallait tuer les trolls, que les risques étaient trop grands. Le général refusa. Personne ne voulait être celui qui allait détruire un peuple entier. Personne ne voulait tacher son nom avec ça, avec des meurtres d'innocents parce qu'on avait peur. Samaël comprit, mais il n'abandonna pas. Il devait trouver un nouveau général.

Fenris avait maintenant cinq milles ans. Il appréciait Samaël. Contrairement à Zen, il était persuadé que chaque décision prise par le chef de la famille était bonne. Il faut comprendre que Fenris n'a jamais été bien intelligent. Il ne pouvait pas réfléchir par lui-même, et sa logique était très simple : si Samaël le dit, c'était que c'était vrai. Ainsi, quand il entendit que ce dernier se cherchait quelqu'un pour une mission à laquelle personne ne voulait participer, il ne pensa pas plus et alla se proposer.

Samaël lui expliqua que la tâche était lourde. C'était tuer une nation entière, la plupart innocente. Il lui dit que la grande majorité des familles nobles ne s'était même pas prononcé, vu la délicatesse du sujet. Si on envoyait des hommes, il fallait garder l'affaire secrète. Il risquait une bonne partie de sa réputation en allant là-bas. Fenris s'en moqua et accepta. Faire la guerre contre ces personnes, c'était la bonne chose à faire, non ? C'est ainsi qu'il monta en grade, directement de colonel à général. On changea son nom à la guerre - Dégel - parce que Samaël le savait, si le public apprenait sa véritable identité, Fenris serait détruit.

Il amena un groupe de soldats avec lui. Ils étaient nombreux, mais bien moins nombreux que l'ennemi. Huit-cent milles civiles, mais la plupart savait se battre. Ils les prirent donc par surprise. Ils n’eurent pas le temps de se défendre qu’on eût déjà pillé à feu et à sang. Quelque jour de guerre et les trolls avaient envoyé des guerriers pour arrêter le massacre, mais ce fut court avant qu'ils soient tous tués. Les soldats se demandaient, où est la justice ? Ne tuons-nous pas ces gens parce qu'ils sont dangereux ? Alors pourquoi sont-ils si faciles à vaincre ? Fenris se fâchait de telles idées. Il finit par menacer les renégats, qu'il appelait, de les faire emprisonner s'ils cessaient le combat. Les hommes continuèrent donc. Un jour, alors que tous les guerriers ennemis étaient tombés, les soldats se révoltèrent à nouveau. Ils refusaient de tuer des enfants innocents. Ils trouvaient cela immoral. Fenris avait beau essayer de les convaincre, ça ne changeait rien, et ils étaient trop nombreux pour qu'il puisse se permettre de les intimider à nouveau. Il prit sur lui : « I'll take care of the kids. Kill the women. »

C'est cette réputation qui le suivit jusqu'à hors de la guerre. Le tueur d'enfants. Comme s'il n'avait jamais regretté. Ce surnom le hante encore aujourd'hui.

Ses hommes le craignaient, mais cette crainte devint haine quand ils rentrèrent au pays.

Deux ans étaient passés. Huit-cent milles vies, ça ne se tue pas en une nuit. Quand ils rentrèrent au pays, les soldats se sentaient en sécurité et se permirent de raconter à leurs frères, parents, cousins les horreurs qu'ils avaient vécu sous les ordres du Général Dégel. Cela choqua les membres de la famille. N'étaient-ils pas une famille de bonté ? Comment un être aussi froid, aussi méchant pouvait-il appartenir à leur clan ? Mais Fenris n'avait pas de méchanceté en lui. Il était simplement stupide. Il n'avait jamais voulu tuer, c'est parce qu'on lui avait dit que c'était la bonne chose à faire qu'il l'avait fait. Il sentait le regard des gens sur lui. Parfois, quand il passait dans un corridor, il entendait des choses comme il aurait menacé ses hommes de les tuer s'ils ne tuaient pas les enfants, il aurait violé des femmes, il mangeait le cœur de ses victimes et d'autres horreurs qui étaient loin d'être vraies. Il réalisa alors qu'ils se moquaient tous de la vérité. Ses proches avaient décidé de le détester. Ils avaient eu besoin de quelqu'un sur qui mettre le blâme. Pas les soldats, qui avaient enlevé plus de vies que lui. Pas Samaël, qui avait financé la croisade. Non, c'était lui, Fenris, qui était la cause de ce qu'on appelait désormais génocide. Le public n'en était pas au courant, c'était déjà ça, mais Fenris préféra s'éloigner des affaires sociales. Il restait enfermé chez lui, ne pouvant supporter les mensonges qui circulaient à son sujet. Le public ne savait certes pas ce qu'il avait fait, mais son absence et les regards de sa famille entachèrent son nom : il était devenu l'homme le plus apathique des Fergail.  

Ça faisait cinq mois qu'il était revenu et il n'avait pas revu Zen depuis le massacre. Il se décida finalement à aller le voir, puisque son ami ne semblait pas intéressé à faire le premier pas.

Zen, contrairement à Fenris, ne buvait pas la parole de Samaël comme si elle était sacrée. Le génocide, c'était lui qui l'avait appelé comme ça en premier. Il avait été ouvertement contre la croisade, et c'est sa voix qui avait attisé le mépris des autres pour le général.

Quand Fenris alla voir Zen, il ne put même pas s'approcher de lui. Ce dernier avait les yeux qui brûlaient d'une haine violente. Ils échangèrent un regard, et Urizen disparut.

Ce fut le plus gros choc pour lui. Il l'avait aimé en silence pendant cinq millénaires, il avait espéré, qu'un jour, ils seraient  peut-être un peu plus. Mais voilà, on lui avait tout retiré, l'amour qui n'était pas encore né et leur amitié qui aurait dû survivre à ça. Fenris avait cru que Urizen aurait pu le rassurer, lui enlever une partie de ses regrets. Il avait été persuadé que le seul qui ne le haïrait pas, ça serait Urizen. Il avait été fou. Celui qui le haïssait le plus désormais, c'était lui. Perdre son ami, ça l'isola encore plus. Il ne parlait à personne. Il ne sortait plus. Des rumeurs de sa mort couraient au public.  

Après cela, des choses étranges commencèrent à se produire. Ce n'était plus juste des regards de haine et des rumeurs, non, il eut le droit à des lettres écrites qui voulaient le pousser au suicide. Il les ignora. Il n'avait plus d'empathie pour sa famille depuis qu'elle avait traîné son nom dans la boue. Les lettres de suicide devinrent rapidement des poisons dans sa nourriture. Il en ingurgita un, une fois. Il fut malade pour une semaine, mais il y survit - la dose avait dû être trop faible. Une fois, il rentrait du marché et se fit attaquer par un homme. Il réussit à le vaincre facilement, mais ça le troubla. Même imbécile, il commençait à réaliser que peut-être sa famille planifiait sa mort.

Deux ans après le massacre, un an après le début du harcèlement, à peu près un an et demi après qu'il ait vu Urizen pour la dernière fois, ce dernier le convoqua à son bureau. C'était tendu. C'était absolument horrible. Quand il croisa son regard, il sentit toute la honte qu'il portait sur ses épaules, et toute la haine qu'avait son ami pour lui. Everybody hates you. Your public reputation is extremly bad. Father even told me some tried to murder you. Oui, c'était vrai, mais qu'est-ce que ça changeait ? Il pouvait vivre avec ça. It needs to get better. It's urgent. They'll start asking questions and they'll learn about what you have done. The whole family is gonna be blamed for your fault. Il avait envie de se lever et de lui hurler que c'était Samaël qui avait demandé la guerre, pas lui. Father had an idea. It disgusts me, but I think it could work. Oui, d'accord, qu'est-ce que c'est ? He wants me.. to marry you. He believes you will get a better reputation if you're my husband. I think it's true. People like me. They won't lay a finger on you if you're mine. Non. Non. Jamais. Pas comme ça ! C'était ce qu'il avait toujours voulu, mais pas comme ça ! Il ne voulait pas être avec Urizen alors que celui-ci le haïssait, pour une histoire de politique ! I don't want to, répondit-il, les larmes aux yeux. I'm not gonna marry you. Urizen sembla le détester encore plus à ces mots : You think you get a saying in the matter ? It's orders. You'll marry me and bear my child. Whether you like it, or not. L'implication qu'avait cette phrase lui donna un long frisson dans le dos.

Une semaine plus tard, on le força à sortir de chez lui pour le mariage, public. Il portait un habit blanc, pour rappeler sa peau sous forme angélique. Quand il avança dans l'allée, les gens le regardaient fixement. Il pouvait facilement savoir si c'était un Fergail ou un civil qui le dévisageait, parce qu'il y avait un profond malaise qui habitait les premiers. Il avait juste envie de partir en courant. Peut-être il courrait assez loin pour retourner dans le passé et se déclarer à Zen avant le massacre. Peut-être assez loin pour refuser l'offre de Samaël et ne jamais tuer les enfants, ne jamais avoir à dire je t'aime à Zen  pour ne pas le perdre. Ce serait trop beau.

Ils scellèrent l'union avec un baiser. Pas comme ça ... Il se rappelait, jeune, il avait rêvé de savoir comment goûterait les lèvres de son ami. Elles étaient douces, un peu sucrées. Comme il l'avait imaginé. Il avait envie de pleurer.

Ils rentrèrent à leurs quartiers. Il avait de grosses larmes qui roulaient contre ses joues. Il s'accota contre le mur du corridor qui menait à la chambre de son mari, dos à celui-ci. Il n'arrêtait pas de sangloter. Urizen le ramassa par la taille et le retourna face à lui. Il avait une main dans ses pantalons, sur ses fesses, et l'autre qui lui arrachait sa chemise. C'est quand sa bouche se retrouva dans son cou que Fenris réagit. Il le repoussa, ce qui eut pour simple effet que son mari saisisse ses poignets avec une main, continuant de le déshabiller avec celle qui était libre. Fenris, plus fort malgré sa taille, réussit à se défaire de sa poigne. Il le frappa violemment et lui hurla : « DON'T FUCKING TOUCH ME ! »

Il bénit sa formation de soldat, ce soir-là, parce que s'il n'avait pas été aussi fort, c'était sans doute que son mari l'aurait violé.

Après ça, la haine que Urizen éprouvait pour lui devint réciproque. Il haïssait son ancien ami de l'avoir abandonné, d'avoir fait passer la politique avant lui, de s'être essayé sur lui. Il finit par le haïr, parce qu'il le trompait. Il finit par le craindre, parce qu'il apprit que Urizen aimait le sexe violent, et parce que n'importe quand, s'il baissait sa garde, il pourrait en souffrir.  

Au moins, sa réputation redevint correcte, même si un malaise subsiste toujours. Les tentatives de meurtre arrêtèrent. Le public, même s'il le voyait toujours comme un peu insensible, finit par l'apprécier quand Urizen accéda à la tête de la famille.  Mais Fenris n'a pas changé. Il reste isolé, il déteste sa famille - qu'il considère hypocrites - et est toujours autant hanté par les actions du Général Dégel.


∞ Aspect social

Fenris est détesté de sa famille, surtout les plus vieilles générations, pour sa froideur mais aussi pour les atrocités qu’il a commises. Il vit sa vie, caché, dans ses quartiers où il peut s’entraîner tranquillement avec son épée à deux mains. Il a été dit qu’il semble aimer la solitude, mais c’est parce qu’il haït la compagnie de sa parenté comme eux le haïssent. La personne avec qui il a les pires liens est Urizen, son mari. Ils sont certes mariés, ils ne se parlent jamais, ne dorment pas dans la même maison et s’évitent dans les corridors. Fenris méprise Zen plus qu’il ne méprise les autres membres de sa famille. Il sait très bien – c’est même connu parmi la famille – que son mari le trompe, mais il ne se mêle pas de ça. Quelque part, il a un peu peur de lui. En public, cependant, ils paraissent être un couple bien normal. Les monstruosités qu’il a faites sont totalement cachées du grand public, mais aussi généralement cachées aux plus jeunes membres de la famille. Fenris parle surtout l’angélique. Il évite de s’exprimer en elfique, mais il comprend la langue. Comme il est marié au chef de la famille, sa situation financière est loin d’être misérable. Il était connu sous le nom de « Général Dégel » en raison de sa froideur lorsqu’il était dans l’armée. C’est souvent ce surnom qui est mentionné dans les archives. Pour ce qui est des dragons, il appartient à ceux qui croient qu’ils ont été enfermés par injustice. Il faut dire que, s’il peut blâmer un membre de sa famille pour quelque chose, il le fera … Fenris sait que les siens planifient de retourner au ciel. Il ne doute pas de leur capacité, mais il doute qu’il fasse partie de ceux qui auront le droit d’accéder à la terre promise. Il n'est pas vraiment au courant des expériences qui ont lieu pour atteindre le but, de toute façon, il n'arriverait probablement pas à comprendre, ou il détesterait juste davantage sa famille. 


par humdrum sur ninetofivehelp
Fenris
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MessageSujet: Re: Le Général Dégel (fini) Le Général Dégel (fini) EmptyDim 7 Mai - 13:40
Shadow
Tsk! Pourquoi est-ce que vous essayer de m'obliger à interagir avec plus de stupides nobles? J'étais bien tout seul! Je m'amusais bien avec les Académiciens et les habitants de la ville! Maintenant vous me forcer à devoir faire attention à mon apparence face aux autres nobles qui commencent à empoisonner ma vie!! RETURN IN YOU'RE FUCKING ROOM AND STAY THERE FOREVER IF YOU LIKE IT SO MUCH DAMN IT!!


You poor pawn of your own Family... Je te valide.
Shadow
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Date d'inscription : 17/03/2017
Localisation : Libre et pas enceinte!!
Noble
MessageSujet: Re: Le Général Dégel (fini) Le Général Dégel (fini) EmptyDim 7 Mai - 13:43
Fenris
FINE !! It's not like I want to come out anyway! Le Général Dégel (fini) 2323959169
Fenris
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Localisation : Dans une jare
Décédé
MessageSujet: Re: Le Général Dégel (fini) Le Général Dégel (fini) EmptyDim 7 Mai - 16:36
Siegfried
Sieg : Toi aussi ta famille te déteste ?
Je te valide Le Général Dégel (fini) 1498369735
Siegfried
Messages : 4
Date d'inscription : 17/03/2017
Localisation : Dans ma forge
Académicien
MessageSujet: Re: Le Général Dégel (fini) Le Général Dégel (fini) Empty
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